ANTIDEPRESSEURS INFORMATIONS

ANTIDEPRESSEURS INFORMATIONS

La dépendance induite par les médecins, aux antidépresseurs, sur internet

Le sevrage de ces antidépresseurs sérotoninergiques, selon l'Organisation mondiale de la Santé, semble être encore pire que pour les benzodiazapines - qui ont déjà l'une des pires réputations pour la gravité du sevrage.

On a caché que les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ( la classe la plus prescrite d’antidépresseurs ) favorisaient le suicide et créaient une dépendance.

extrait non disponible sur internet : «il existe une accoutumance et une dépendance à ces molécules, exactement comme avec beaucoup de drogues"

Des études ont montré que Paxil est hautement addictif et réalise de nombreux symptômes de sevrage allant de sévérité légère à extrêmement dangereux.

addiction
Lorsque ces médicaments sont administrés sur une plus longue période de temps, ils sont responsables, tout comme l'alcool, d'une addiction et d'une dépendance et ce, particulièrement chez les femmes. Cette dépendance peut être plus sévère que celle induite par des drogues dures telles que la cocaïne, l'héroïne ou les amphétamines.
 
professeur Healy david : "La dépendance et les symtômes de sevrage à l'égard des antidépresseurs a été reconnue depuis le début des années 1960."
"Le syndrome de sevrage complique l'évaluation des patients après l'arrêt du traitement, puisque les deux patients et les médecins interprètent souvent l'apparition de symptômes comme une recrudescence de" l'anxiété "lié à la rechute naissante, et reprendre le traitement avec l'affaissement gratifiant de la« anxiété». Cela peut condudire à la fois les patients et les médecins à surévaluer l'importance du médicament pour la stabilité du patient »(Kramer et al 1961).La toxicomanie ou de dépendance thérapeutique de la dose normale doit être distinguée de la toxicomanie de la sorte causée par les opiacés et les amphétamines.La dépendance à la drogue thérapeutique peut donner lieu à des syndromes de sevrage durant des mois ou plus.Les sociétés n'ont pas été tenus de tester leurs médicaments de la toxicomanie thérapeutique avant la commercialisation....En effet, pour de nombreux patients, il sera plus difficile d'arrêter ces ISRS que ce serait d'arrêter les benzodiazépines...Il n'y a en fait aucune raison de distinguer cliniquement entre la dépendance à la dose:

La défonce médicamenteuse. de MAXENCE (Jean-Luc)
Les antidouleurs et antidépresseurs sont aujourd’hui les médicaments les plus consommés en France. Les 150 millions de boîtes de tranquillisants vendues par an et par Français (soit 80 cachets par personne) représentent 20 % du chiffre d’affaires des laboratoires. Or ces  » gélules miracle  » sont des drogues à part entière car elles induisent un état de dépendance, un refus d’assumer la réalité. L’état d’urgence est déclaré. Aux ravages causés par les antidépresseurs, s’ajoutent ceux du cannabis, de l’extasie et du crack. Chercher le bien-être, le bonheur, le sommeil, l’amour, l’indépendance, l’éternité, bref,  » la lune en gélules  » dans ces drogues est dangereux. La meilleure réaction commence par l’information, la compréhension des mécanismes qui mènent à la dérive et des phénomènes d’accoutumance.

Les antidépresseurs entraîneraient une dépendance et un sevrage à l'arrêt

Les réactions de sevrage liées aux antidépresseurs les plus couramment prescrits semblent similaires à celles causées par les anxiolytiques
 
la dépendance aux antidépresseurs apparaît comme une douloureuse réalité pour beaucoup d’utilisateurs, alors que le problème n’existe pas officiellement.
 
Bien que les premières observations concernant le syndrome de sevrage lié à l’arrêt des antidépresseurs date de 1961, il a fallu plus de trente ans pour que cette information soit largement répandue. Ce problème existe avec tous les antidépresseurs,
 
ces médicaments, d’abord officiellement proclamé exempt de tout risque de dépendance, a été déclaré ensuite précisément à l’origine de dépendances.
 
la toxicomanie, la dépendance et le syndrome de sevrage aux antidépresseurs par le professeurs Breggin
 
Le Parisien annonce sur quelques lignes que « les fabricants du Deroxat®, l'antidépresseur le plus vendu dans le monde, reconnaissent qu'il crée un dépendance »
 
Si les observations de pharmacodépendance aux AD tricycliques sont rares et anecdotiques, il en va différemment avec les nouveaux antidépresseurs : inhibiteurs de recapture des amines pressives en particulier
 
L'OMS avait retenu l’année précédente quatre antidépresseurs (Deroxat, Prozac, Effexor et Zoloft) dans sa liste des dix substances présentant le plus fort syndrome de sevrage… devant la morphine et la méthadone, rien de moins!
 
les antidépresseurs et les anxiolytiques entraînent certains risques. La preuve, en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis, le risque de dépendance vis-à-vis des antidépresseurs figure sur les boîtes de médicaments. Pas en France. professeur e Zarifian
 
« les fabricants du Deroxat®, l'antidépresseur le plus vendu dans le monde, reconnaissent qu'il crée un dépendance »
 
En décembre 2004 pourtant, l'agence de contrôle des médicaments britannique a émis un rapport avertissant que tous les antidépresseurs IRS peuvent être associés à des symptômes de sevrage
 
Depuis 1990, un avertissement a été imprimée dans le Formulaire national britannique sur les symtômes de sevrage des antidépresseurs
 
C’est pour cette raison que le traitement ne doit pas être interrompu brusquement.
 
 
 
En France, de nombreux psychiatres estiment que les médicaments prescrits contre la dépression, dans de nombreux cas, étaient inappropriés. Mal prescrits, ces derniers peuvent en outre entraîner une forte dépendance
 
Glaxo fait présentement face à des milliers de poursuites au sujet des effets secondaires du Paxil tels que l'accoutumance, la dépendance et un syndrome de sevrage sévère.
 
Tous les médicaments psychiatriques ont le potentiel de provoquer des réactions de sevrage, y compris les antidépresseurs, stimulants, tranquillisants, neuroleptiques et stabilisateurs de l'humeur "tels que le lithium

Prozac, Deroxat and Co : drogues sur ordonnance
Une étude danoise vient de donner raison aux patients en démontrant que les ISRS avaient la même toxicité que les benzodiazépines (BZD), la plus importante famille d’anxiolytiques.
 
Dès la mise à l’essai du Prozac, on savait que les ISRS pouvait engendrer une toxicomanie ou une dépendance et que l’interruption du traitement pourrait être difficile ou provoquer des symptômes de sevrage.En ce qui concerne le Prozac, cependant, ces symptômes sont parfois difficiles à cerner, car ils apparaissent des heures ou des jours après l’interruption du traitement ou la diminution de la dose. Le Prozac possède en effet une longue demi-vie biologique (c’est-à-dire la vitesse à laquelle la concentration du médicament dans le sang diminue). Ainsi, les symptômes de sevrage prennent parfois des heures, voire des jours, à se manifester, si bien que le patient ou les prestataires de soins n’établira pas nécessairement un lien avec le médicament. Les sociétés pharmaceutiques ont d’abord vigoureusement nié l’existence de tout symptôme de sevrage41. Jusqu’à 2001, les fabricants du Paxil prétendaient que les effets liés au sevrage ne dépassaient pas 0,0001 %. De 1992 à 1997, tout au long d’une campagne nationale de lutte contre la dépression menée en Grande-Bretagne et financée par le fabricant et le gouvernement (Defeat Depression [vaincre la dépression]), on a constamment réitéré le message suivant : les antidépresseurs ne sont pas toxicomanogènes. On a conseillé aux médecins de dire à leurs patients que les problèmes de sevrage liés aux ISRS étaient rares et peu graves. Dans le cadre d’une stratégie destinée à nier ou à minimiser le phénomène de dépendance associé aux ISRS, les sociétés pharmaceutiques ont mené une campagne concertée visant à redéfinir la notion de pharmacodépendance dans le DSM-IV (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux). Selon la nouvelle définition, la dépendance physique découlant de la tolérance aux médicaments ne serait pas suffisante en soi pour conclure à une « dépendance ». Il faudrait également qu’un patient manifeste un comportement « abusif » ou toxicomaniaque. Étant donné que la majorité des patients qui prennent des ISRS observent fidèlement les doses qui leur sont prescrites, on ne peut parler de surconsommation; par conséquent, au sens même de cette définition, il est impossible qu’un patient soit dépendant, et ce, même s’il lui est difficile ou impossible d’interrompre le traitement en raison des symptômes de sevrage qu’il éprouve. Selon Charles Medawar, « on décrétait unilatéralement que la “dépendance” était assimilée à la toxicomanie. Encore une fois, on considérait que les usagers étaient les seuls responsables de leurs problèmes de dépendance43 ». Les médecins et les pharmaceutiques ont diffusé cette nouvelle définition puisqu’elle exhonorait le médicament et le médecin prescripteur de toute responsabilité en cas de dépendance. En fait, c’est le fabricant du Prozac, Eli Illy, qui a signalé les effets de sevrage de ces médicaments. Son intervention visait le Paxil, un produit concurrent. Eli Illy a toutefois soigneusement évité l’expression « symptômes de sevrage », préférant l’expression « symptômes ou effets liés à l’interruption du traitement », plus inoffensive. Le fabricant a d’ailleurs conseillé à ses employés d’éviter le mot « sevrage » puisqu’il implique une accoutumance. Depuis, les recherches ont démontré qu’entre 35 % et 85 % des personnes qui cessent brusquement de prendre un ISRS éprouveront des symptômes de sevrage. Dans le cas d’un médicament à action brève comme le Paxil ou l’Effexor, ces symptômes peuvent apparaître quelques heures après l’interruption ou la diminution de la dose. En voici une liste non exhaustive : brusques sautes d’humeur, aggravation de la dépression, variations de l’appétit, insomnie, sensations de choc électrique et agitation. Étant donné que ces symptômes imitent le problème qui avait motivé la prescription du médicament (la dépression, par exemple), le patient et son médecin croiront qu’il s’agit d’une rechute. On prescrira parfois d’autres substances ou une plus forte dose pour neutraliser des symptômes qui auraient été causés par le médicament même. Les études par observation n’ont pas permis d’établir la durée des effets associés au sevrage. Les ISRS et d’autres médicaments apparentés sont abondamment prescrits par les médecins; ceux-ci sont pourtant peu nombreux à connaître leurs effets indésirables. Dans une enquête sur l’état des connaissances, Young et Currie ont découvert que 70 % des médecins ignoraient que les antidépresseurs pouvaient provoquer des épisodes de sevrage. Seulement 17 % d’entre eux ont précisé qu’ils mettraient leurs patients en garde contre cette éventualité

Cocaïne, alcool, antidépresseurs  : « Le plus difficile a été l’arrêt des antidépresseurs »

Les symptomes de sevrage a la paroxétine peuvent être sévères previent la FDA


24/05/2019
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